
Les champignons Hypogés des îles d'Hyères (Ascomycetes et Basidiomycetes)
L'auteur dresse une liste de champignons hypogés qui ont été vus, souvent récoltés par lui dans les îles d'Hyères.
Trois nouvelles espèces sont brièvement décrites.
Trois nouvelles espèces sont brièvement décrites.
Les analyses montrent des teneurs relativement importantes de ces éléments au niveau des appontements fréquentés par les embarcations à moteur.
L'utilisation de la spectrophotométrie d'absorption atomique sans flamme a permis de déterminer la teneur en mercure total de différents échantillons d'algues, de phanérogames marines et d'animaux benthiques provenant d'un des secteurs les plus fréquentés par les bateaux de l'île de Porquerolles...
Les relevés synoptiques des températures instantanées, maximales et minimales hebdomadaires ont permis d'étudier les variations thermiques des eaux de la baie de Port-Cros et de les comparer à celles d'autres secteurs du littoral méditerranéen Français, Italien, Yougoslave, Espagnol et Algérien. Ils...
Une synthèses des observations biologiques et écologiques a permis de préciser les particularités du biotope à Caulerpa prolifera ainsi que sa signification bioclimatique pour les côtes de France.
Dans une baie qui porte encore les traces d'une dégradation d'origine industrialo-commerciale ancienne et dont une partie est actuellement polluée par un rejet d'eaux usées domestiques de faible débit.
Les résultats obtenus ont montré que les eaux portuaires ont une tendance très nette à l'eutrophisation en été et au début de l'automne, époque qui coïncide avec une surfréquentation des bateaux de plaisance.
Une étude de ces aérosols a été entreprise afin de déterminer si cette aggravation de la toxicité était en liaison avec pollution marine.
Il s'agit de Clitocybula lenta (Maire) Malençon et Bertault qui figure dans la flore analytique de kuehner et Romagnesi (1953) sous le nom de Collybia lenta (Maire) Kühn. et Romagn. alors qu'elle n'est pas mentionnée par Moser dans la récente édition de sa flore (1978).
Cette méthode constitue un moyen efficace pour repérer avec précision la limite d'extension des peuplements benthiques; utilisées à des temps différents, sur le même site, elle permettra d'obtenir, dans quelques années, des informations précises sur la dynamique des biocénoses étudiées.