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Rapports scientifiques

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Faune marine

Sur un reteporidae nouveau, Reteporella elegans n. sp. (Bryozoaires Cheilostomes), découvert aux îles d'Hyères

La  Reteporella elegans a été découverte sur un fond rocheux coralligène des îles d'Hyères.

Elle appartient à un genre qui n'était pas signalé en Méditerranée. Son port colonial arbusculaire sans anastomoses des branches est remarquable, ainsi que sa forte calcification, ses aviculaires arrondis et ses épines qui peuvent être massuées et antenniformes.

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Flore marine

L'herbier de posidonies de Port-Cros régresse-t-il? Mise en place de jalons temoins a sa limite

L'herbier de posidonies de Port-Cros ne semble pas subir à l'exception de celui des baies de Port-Cros et de Pot-Man, de dégradations importantes d'origine locale.

Cependant, on peut craindre que la baisse générale de la qualité du milieu marin devant le littoral varois entraine une baisse de la vitalité des herbiers de Port-Cros.

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Flore marine

Note préliminaire sur la morphologie de l'herbier profond de posidonies, Posidonia oceanica (L.) Delile, à Port-Cros

Une étude de l'herbier de posidonies montre qu'au delà de 25 métres de profondeur les rhizomes de Posidonia oceanica tendent à devenir traçants et la croissance en épaisseur de la matte ne se fait plus que très lentement.

La limite de l'herbier se situe de façon très constante autour de 35 mètres. Elle peut revêtir plusieurs aspects en fonction de la topographie du fond.

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Flore marine

Végétation marine de l'île de Port-cros (Parc National). XIII: Documents pour la carte des peuplements benthiques

Les auteurs ont cartographié les biocénose benthiques des étages supralittoral, médiolittoral et infralittoral, jusqu'à l'herbier de Posidonia oceanica.
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Flore marine

Floraison de Posidonia oceanica à Port-Cros

Dans le cadre de l'étude globale de la floraison de Posidonia oceanica en Méditerranée, nous avons effectué une mission à Port-Cros les 28, 29 et 30 janvier 1976.
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Faune marine

Observations "in situ" des aires de ponte de Spicara smaris (L.) (Pisces, Perciformes, Centracanthidae) dans les eaux de Port-Cros

Le comportement de reproduction de Spicara smaris (L.) a été observé en plongée à Port-Cros et à Marseille.

Les territoires de ponte sont très étendus et se situent sur des fonds détritiques au delà de la limitée en profondeur de l'herbier de Posidonies.

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Sciences de la vie

Recherches sur la pollution mercurielle en rade d'Hyères et dans l'archipel des Stoechades (Méditerranée, France). 1- Teneur en mesure des eaux, des sédiments et des phanérogames marines de milieu lagunaire dans l'anse de Port-Cros

L'utilisation de la spectrophotométrie d'absorption atomique sans flamme a permis de déterminer la teneur en mercure des eaux, des sédiments et des tissus des phanérogames marines dans la lagune de la baie de Port-Cros.

La comparaison des résultats obtenus montre que Zostera noltii et Cymodocea nodosa ont le pouvoir de concentrer le mercure dans leurs tissus

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Flore marine

Présence de Choristocarpus tenellus (Kuetzing) Zanardini à Port-Cros

Ch. tenellus Zan. n'est pas mentionné que de l'Adriatique par Hauck (1885), Kuckuck (1895), Vatova (1948) et Ercegovic (1955,1957) et du Golfe de Naples par Berthold (1882) et Funk (1955).

A notre connaissance il n'a été signalé qu'une seule fois sur les côtes de Méditerranée nord-occidentale, par Sauvageau (Hamel, 1935) à Villefranche.

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Ecologie/Développement durable

Premières observations dans les eaux du Parc Naional de Port-Cros à l'aide du sous-marin "Griffon" de la Marine National

Cinq plongées ont été effectuées dans les eaux du PNPC. trois d'entre elles, au Sud de l'îlot de la Gabinière, ont permis l'étude de la falaise profonde et de roches isolées entre 500 et 80m de profondeur.

Dans le Nord de Port-Cros, deux plongées ont mis en évidence des fonds à algues libres à la profondeur de 40 à 60m.

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Faune terrestre

Relations entre le profil du liseré côtier, les ressources alimentaires et le parasitisme de "Larus argentatus" par deux espèces de Trématodes.

Dans le Parc National de Port-Cros (Var), 50% des Goélands argentés, Larus argentatus michaellis Naumann sont parasitées par un trématode Echinostomatidae:

Aporchis massiliensis Timon-David, 1955. De plus, l'intensité de l'infestation est extrêmement élevée. Un parasitisme aussi important est dû à deux causes principales.

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